Tenus en échecs en Bretagne, les Messins pédalent dans la semoule et sont à nouveau à trois points de Bordeaux. Découvrez les notes que notre rédaction leur a attribuées.
Alexandre Oukidja 5,5 : Il a fait parler toutes ses qualités sur sa ligne pour s’imposer à chaque fois qu’il l’a pu devant les attaquants adverses. Difficile de lui reprocher quoi que ce soir sur le but guingampais.
Matthieu Udol 5 : Une première mi-temps bien sentie à l’image de sa quatrième passe décisive de la saison sur l’ouverture du score. Un second acte bien plus délicat, comme le reste de l’équipe.
Fali Candé 4,5 : Des espaces béants laissés et une propension à reculer sans cesse qui ont bien aidés l’En Avant. Heureusement, des tacles salvateurs et une belle lecture du jeu qui lui permettent de présenter une copie acceptable.
Ismaël Traoré 4,5 : Comme son partenaire de charnière, il aurait pu reculer jusque dans ses cages sans s’en apercevoir. Et quand il ne l’a pas fait, il a déséquilibré toute la défense en sortant inconsciemment.
Koffi Kouao 4 : Très compliqué en seconde période, il a souffert face au jeune Hugo Picard et a disparu offensivement.
Kevin N’Doram 4,5 : complètement en rupture avec sa belle prestation face à Grenoble, il a semblé complètement dépourvu de solution à la relance ce qui lui a fait perdre de nombreux ballons.
Joseph N’Duquidi 4 : Tu peux pêcher 1 fois par inexpérience, mais pas 15. Et encore moins dans un match pour la montée en Ligue 1. Naufrage absolu pour Laszlo Bölöni.
Youssef Maziz 4 : Il avait le doigt sur l’interrupteur du jeu messin, mais ne l’a que trop rarement allumé. À la fois partout en nulle part sur le terrain, il peine toujours à trouver son rôle en tant que numéro 10.
Ablie Jallow 4 : En carence totale d’inspiration ce soir, il a enchaîné les mauvais choix, les hésitations et les ratés. Très loin de son niveau de la semaine passée.
Georges Mikautadze 5,5 : Tout en étant le joueur le plus surveillé sur le terrain, il a réussi à se faire totalement oublier de la défense pour ouvrir le score. Ensuite, il a du trouver le temps long.
Cheikh Sabaly 4,5 : À défaut de réussir ses derniers gestes, il a délivré une avant-dernière passe délicieuse pour Udol sur le premier but. Le reste de la rencontre, c’était du Sabaly dans le texte : un bon allumeur de couloir, mais pas beaucoup plus.
T.M, avec la rédaction
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Crédit photos : Icon Sport