L’entraîneur du FC Metz va retrouver la Bretagne, l’occasion pour lui d’évoquer dans le média Ouest France son nouveau destin avec le FC Metz, la Ligue 2 et bien sûr le choc face à Lorient.
Extrait
Frédéric Antonetti, rejoindre ce projet messin à l’intersaison, c’était un choix évident ?
Quand on fait des choix de vie comme ça, ce n’est jamais facile. Humainement et sportivement, ça me convient très bien. Metz est un club historique qui veut retrouver la place qu’il a eue dans les années 1980-1990. Je suis venu longtemps jouer contre Metz, c’est un club populaire. Les clubs populaires me correspondent bien. C’est aussi un club en pleine dynamique, le stade va être porté à 30 000 places dans un an. Un terrain d’entraînement va aussi sortir de terre l’an prochain. Le feeling est bien passé avec Bernard Serin, le président. J’ai eu plein de signes positifs et c’est pourquoi je me suis lancé dans l’aventure.
Vous avez souvent pu travailler dans la durée avec vos clubs, sauf dernièrement à Lille. Le long terme, c’est important ?
Chaque fois on me renouvelait, ça veut quand même dire que les gens étaient contents de mon travail. Je pars sur deux ans et après il y a des discussions. À Lille, il y a eu des changements de dirigeants. À partir de là, c’est plus compliqué, chacun veut mettre ses hommes, c’est comme ça.
Cette expérience lilloise a été digérée ?
Oh vous savez, comme dit la chanson : « Avec le temps, va, tout s’en va » (rires).
Redescendre d’un échelon, en Ligue 2, ça n’a pas été compliqué ?Pas du tout, je fais le même travail qu’en Ligue 1. Les séances sont les mêmes, l’intensité est la même. Le championnat de Ligue 2 est composé de beaucoup d’équipes qui étaient récemment en Ligue 1. C’est un championnat très intéressant. Ça n’a pas dérangé mon ego, ce nouveau poste me convient très bien.
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