Sauvés par une bonne dynamique en novembre après deux mois plus que difficiles, les Messins, par l’intermédiaire de Pierre Dréossi, ne veulent pas se précipiter à faire un bilan, et attendent la fin des matchs aller :

« C’est toujours mieux de faire un bilan sur la moitié parce que les calendriers sont les mêmes. On a eu un mois d’octobre difficile, on a rencontré pratiquement tous les premiers : Le Havre, Bordeaux, Sochaux et compagnie. Quand on voit qu’on doit joueur encore Grenoble, Nîmes, Quevilly et Niort, on se dit que ce serait un peu plus intéressant de faire un bilan à ce moment-là. Sachant cela, ça ne nous empêche pas de penser que les résultats ne sont pas à la hauteur de nos espérances voire de nos ambitions : ça c’est clair. »

A quelques semaines de l’ouverture du mercato d’hiver, le premier qu’il aura réellement eu le temps de préparer, le directeur sportif du FC Metz préfère mettre l’accent sur la formation :

« On a l’intention de faire jouer nos jeunes même si Mikautadze ne restera peut-être pas des années au club. Il n’avait jamais joué en professionnel au FC Metz, comme Youssef Maziz, Danley Jean Jacques et d’autres joueurs du centre qui arrivent. C’est remettre en place la politique de formation pour avoir des ambitions à moyen terme. On est un club de L2 qui a toujours la volonté de monter le plus vite possible en Ligue 1 avec une politique sportive sur le moyen et long terme. Il y a trois ou quatre jeunes qui s’entraînent avec les pros et qui commencent à jouer. »

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T.M.