PSG – FC Metz : Laszlo Bölöni : « Je ne crois pas qu’on ait une pression terrible »

Avant de clôturer cette première partie de saison face au PSG, Laszlo Bölöni donne la recette pour préparer ce match tout en glissant un mot sur le retour possible de Georges Mikautadze.

Le FC Metz affrontera le PSG ce mercredi soir (21h), où ces derniers seront bien évidemment ultra favoris. Les Grenats devront batailler dur, mais « sans pression » selon le coach messin :

« Ce sont des matchs que les joueurs attendent. On sait bien qu’on va jouer contre la meilleure équipe de France avec un très grand football européen. Je ne crois pas qu’on ait une pression terrible. On peut apprendre beaucoup. On sait qu’on va se heurter à un niveau vraiment élevé. On passe un examen comme dans tous les autres matchs. »

Le technicien roumain attend de ses joueurs qu’ils fassent une « prestation courageuse » comme celles de Monaco (2-1) ou Nice (0-1), malgré la défaite.

Dans ce genre de matchs à sens unique, Bölöni devra trouver ce juste équilibre entre expérience et fougue de la jeunesse. «  On va avoir les deux. Il y a N’Doram oui, mais il y a aussi Traoré, Hérelle et Colin qui ont ce vécu. Mais peu importe ce que je fais, on va avoir des joueurs qui sont en train de découvrir le football de haut niveau », confirme-t-il.

Défendre c’est une chose, mais l’entraineur du FC Metz sait que cela ne sera pas suffisant : « Quand je regarde leurs attaquants, jouer que dans nos 16 mètres ne va pas être vraiment encourageant pour nous. Il faudra faire un peu plus. »

Ces derniers jours, l’éventuel retour de Georges Mikautadze au FC Metz cet hiver enflamme la toile, lui qui vit des jours sombres depuis son départ à l’Ajax Amsterdam. Le Roi Georges fait l’unanimité auprès des supporters, mais également du côté du technicien roumain :  

« Je vois qu’il souffre à Amsterdam. On a passé ici une année exceptionnelle avec lui, on a formé une relation très étroite entre lui, le staff et moi. J’ai énormément regretté son départ, vu comme il a bien fini la saison dernière et comment il a bien commencé celle-ci. Et là, il a été coupé. J’ai toujours peur des opérations comme ça, surtout si le malade est de ma famille. J’espère bien sûr qu’on peut faire cette manœuvre, mais en même temps, on doit se méfier du déroulement des choses. »

A.M.

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Crédit photos : Icon Sport

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