Entraînement

Christophe Marichez a travaillé avec Didillon, Kawashima et Beunardeau et le reste de l’équipe a commencé son entraînement par des petits échauffements avec Hugo Cabouret. Ensuite, exercice de vivacité avec le jeu du foulard. Etaient présents : Niakhaté, Diagne, Selimovic, Palmieri, Rivierez, Balliu, Boulaya, Thill, Cohade, Lempereur, Niane, Mollet, Dossevi, Rivière, Roux, Mandjeck, Poblete, Nguette et Bisevac. Pendant ce temps, Daniel Milicevic a couru avec Sylvain Marchal, il a quelques douleurs au niveau du bassin, avant de rejoindre le groupe. Frédéric Hantz a ensuite débuté par un atelier à deux touches de balle basé sur le déplacement (je passe, je bouge) lors d’une opposition entre verts et violets.
Verts : Riviere, Cohade, Lempereur, Boulaya, Rivierez, Mollet, Mandjeck, Niakhaté et Diagne.
Violets : Balliu, Poblete, Nguette, Palmieri, Selimovic, Thill, Niane, Bisevac et Dossevi.
Roux et Milicevic évoluaient en électrons libres entre les deux groupes.
À l’issue de l’excercice, l’équipe accompagnée par les gardiens a été mélangée pour un atelier basé sur l’attaque. Un  milieu de terrain au départ de l’action, en relais avec un latéral pour bien utiliser la largeur du terrain et finir par centrer. Et inversement les latéraux en phase défensive gèrent la profondeur et coupent les centres.
Sylvain Marchal, de son côté, avec l’autre moitié des Grenats, a procédé à des phases de jeu à une touche de balle avec conclusion au but. Après une pause rafraîchissante les verts et violets se sont livrés à une opposition. Avantage aux Violets. Mathieu Dossevi est resté avec Hugo Cabouret pour effectuer plusieurs sprints.  Thomas Didillon a continué à œuvrer avec Christophe Marichez. Nguette est également resté avec Frédéric Hantz pour travailler devant le but.

Nolan Roux mieux que Falcao !

L’attaquant du FC Metz Nolan Roux avec 14 réalisations en championnat dont 8 de la tête devance Radamel Falcao dans cet exercice (5 buts). L’ancien lillois n’est plus qu’a une unité du record en Ligue 1 détenu par l’ancien girondin Marouane Chamack avec 9 buts (2008-2009).

Renaud Cohade et Moussa Niakhaté devant la commission de discipline 

En fin de journée, les deux joueurs de la maison Grenat ont rendez-vous à Paris au siège de la LFP suite à leurs convocations reçues pour les pseudo-incidents de la rencontre à Strasbourg.

Sur la phase retour le FC Metz n’est pas relégable ! 

Sur la phase retour, le FC Metz est 14ème de Ligue 1 Conforama avec 14 points en 14 rencontres. C’est plus que les nantais de Claudio Ranieri qui sont aujourd’hui 9ème du championnat, ou Caen, futur adversaire des Lorrains, qui sont 15ème avec 11 points engrangés lors de la seconde partie de saison.

Le chiffre du jour : 300

Nolan Roux a disputé samedi face à Rennes son 300ème match professionnel (240 en L1, 35 en L2, 9 en Coupe de la Ligue et 16 en Coupe de France).

Eiji Kawashima dans l’histoire !

Le portier japonais du FC Metz est entré dans l’histoire de la Ligue 1. En arrêtant ses 3 premiers pénaltys, tirés par Andy Delort (Toulouse), Bryan Dabo (Saint-Etienne) et Mario Balotelli (Nice), Eiji Kawashima a réalisé une performance unique lors des dix dernières saisons du championnat de France.

Une place offerte pour les abonnés

Les dirigeants messins, afin d’apporter un maximum de soutien aux joueurs pour la rencontre face à Caen, ont décidé d’offrir une place à chaque abonné pour assister à la rencontre. Superbe initiative !

Rafael Lorraine invitée par le FC Metz ! 

L’association dont le parrain est Thomas Didillon s’occupe d’améliorer le quotidien d’enfants malades à l’hôpital de Nancy Brabois. Celle-ci a passé la journée de mercredi au FC Metz suite à l’invitation du club. Les enfants ont visité les installations messines, rencontré les joueurs pour des dédicaces avant d’aller assister à l’entraînement. Ensuite ils sont allés déjeuner avec les joueurs du centre de formation pour finir par visiter ce dernier. Chaque enfant est reparti avec plusieurs cadeaux dont un maillot officiel du FC Metz.

La déclaration du jour

“Je ne comprends même pas pourquoi je suis convoqué ni pourquoi je pourrais être sanctionné. Mais bon peut-être qu’ils veulent juste m’inviter au resto.” Renaud Cohade dans l’Essentiel.

Matthieu Dossevi, “si le club se maintient, je pourrais très bien rester ici.” 

L’international togolais a évoqué la saison du FC Metz ainsi que son avenir dans le média belge Sport Magazine.

Extraits :

Comment avez-vous atterri à Metz ?

Matthieu Dossevi : Cela s’est réalisé lors de la fin du mois d’août dernier, au mercato estival. On m’a fait part de l’intérêt du FC Metz. Je ne pensais pas quitter Liège à la base mais le club n’était pas contre un départ. On s’est donc mis d’accord sur un prêt d’une année.

En signant à Metz, est-ce que vous vous attendiez à vivre une saison aussi difficile ?

Matthieu Dossevi : Lorsque je suis arrivé, le club comptait cinq défaites en cinq matches. Je savais donc que la saison allait être compliquée. Le but était alors de redresser la barre et essayer de prendre un maximum de plaisir.

Le club pointe au dernier rang depuis la quatrième journée. Comment expliquez-vous cette incapacité à quitter la zone de relégation pour un groupe où figurent pourtant de nombreux joueurs d’expérience ?

Matthieu Dossevi : Il y a beaucoup de choses qui peuvent expliquer cela. On n’a pas réussi à trouver une bonne dynamique. On a débuté la saison avec un trop grand retard de points sur les autres clubs et on n’a jamais su accrocher le bon wagon. Après un début de saison comme celui-là, c’est compliqué… Chaque défaite nous plombait encore plus le moral et nous faisait reculer au classement. Pourtant, on a souvent fait jeu égal avec nos concurrents mais on a commencé avec trop de retard suite à cette série négative.

Et il ne vous a souvent pas manqué grand-chose.

Matthieu Dossevi : Effectivement et il y a de quoi avoir beaucoup de regrets. On a l’effectif pour faire de bonnes choses. On l’a d’ailleurs prouvé à plusieurs reprises. On a tout de même réalisé de belles prestations face à des équipes comme Montpellier (3-1), Saint-Etienne (3-0) ou encore Nice (2-1). On n’a jamais été ridicules, mais la Ligue 1 est un championnat très exigeant. Cela se joue sur des détails et parfois certaines victoires se transforment finalement en matches nuls et d’autres matches nuls en défaites. J’espère qu’on en tirera des leçons et que cela pourra nous servir dans le futur.

Sur le plan individuel, il y a tout de même des satisfactions. Matthieu, vous êtes l’un des meilleurs passeurs du championnat. 

Matthieu Dossevi : Oui, c’est bien mais il est compliqué de faire un bilan positif de ma saison puisque collectivement, jusqu’ici, elle n’est pas bonne. Dans une équipe, c’est le collectif qui prime, il est donc difficile de tirer la couverture à soi.

On compare souvent les championnat belge et français mais quelles sont les principales différences entre ces deux-là ?

Matthieu Dossevi : En Belgique, le championnat est plus physique et rugueux qu’en Ligue 1. Au contraire ici, on mise plus sur les aspects technique et tactique. Il y a beaucoup plus d’impact dans le championnat belge. C’est la principale différence mais personnellement, je n’ai pas de préférence.

Votre prêt se termine en fin de saison. Votre avenir vous le voyez où ?

Matthieu Dossevi : J’en ai aucune idée, rien n’est décidé. En fin de saison, on se mettra tous autour d’une table, on discutera et on verra bien. Je suis ouvert à toutes les propositions.

La collaboration avec Metz pourrait se poursuivre même en cas de relégation ?

Matthieu Dossevi : Je ne pense pas mais si le club se maintient, je pourrais très bien rester ici.

Et un retour en Belgique ?

Matthieu Dossevi : J’ai déjà connu la Coupe d’Europe avec le Standard, c’était une très belle expérience et il ne me déplairait pas de la renouveler mais pour le moment, je me concentre sur ma fin de saison avec Metz.

Crédit photo: D.R